ou traditionnel de la peinture.
Libre de tout châssis, la toile, posée au sol,
est imprimée à l’aide de ce que Jaccard
nomme des « outils » :
objets naturels (plantes et insectes),
papier, ruban.
Son travail le situe
dans des préoccupations proches
de celles du groupe "Supports/Surfaces"
dont il n'a pas fait partie.
Néanmoins, des expositions consacrées
à Supports/Surfaces
ont parfois associé Christian Jaccard.
A partir de 1971, Christian Jaccard utilise
des « outils » cordes, ficelles, nœud.
Ces outils remplacent le pinceau
pour produire des traces sur la toile.
Vers 1973, il brûle ces outils contre la toile,
qui porte ainsi la trace de leur combustion.
De 1979 à 1981 : « Les anonymes calcinés »
soumettent à la chaleur destructrice
des toiles anonymes
du XVIIe, XXVIIIe, XIXe et XXe siècles
– portraits, scènes religieuses,
puis des calicots publicitaires de cinéma.
La combustion attaque
certaines parties de l’image
pour en laisser d’autres plus visibles.
1984 Son « chemin de Cendres »
rejoint le land-art,
brouillant encore une fois les pistes
pour échapper à toute classification.
« Quand j’ai compris que la suie est à la cendre
ce que le vide est au bleu,
j’ai réalisé que je n’avais pas éprouvé
de choc émotionnel aussi fort
devant la sublime vérité de l’apparence
depuis le 14 janvier 1961
au contact des sculptures de jeu
d’Yves Klein à Krefeld. ». "
Exposée dans les institutions publiques et privées
son œuvre est collectionnée
par de nombreux musées :
Céret, Saint-Etienne, Dunkerque,
Grenoble, Marseille,
MNAM Centre G. Pompidou,
La Chaux de Fonds,
National Muséum of art Osaka,
The Museum of Art Ehimé…">
ou traditionnel de la peinture.
Libre de tout châssis, la toile, posée au sol,
est imprimée à l’aide de ce que Jaccard
nomme des « outils » :
objets naturels (plantes et insectes),
papier, ruban.
Son travail le situe
dans des préoccupations proches
de celles du groupe "Supports/Surfaces"
dont il n'a pas fait partie.
Néanmoins, des expositions consacrées
à Supports/Surfaces
ont parfois associé Christian Jaccard.
A partir de 1971, Christian Jaccard utilise
des « outils » cordes, ficelles, nœud.
Ces outils remplacent le pinceau
pour produire des traces sur la toile.
Vers 1973, il brûle ces outils contre la toile,
qui porte ainsi la trace de leur combustion.
De 1979 à 1981 : « Les anonymes calcinés »
soumettent à la chaleur destructrice
des toiles anonymes
du XVIIe, XXVIIIe, XIXe et XXe siècles
– portraits, scènes religieuses,
puis des calicots publicitaires de cinéma.
La combustion attaque
certaines parties de l’image
pour en laisser d’autres plus visibles.
1984 Son « chemin de Cendres »
rejoint le land-art,
brouillant encore une fois les pistes
pour échapper à toute classification.
« Quand j’ai compris que la suie est à la cendre
ce que le vide est au bleu,
j’ai réalisé que je n’avais pas éprouvé
de choc émotionnel aussi fort
devant la sublime vérité de l’apparence
depuis le 14 janvier 1961
au contact des sculptures de jeu
d’Yves Klein à Krefeld. ». "
Exposée dans les institutions publiques et privées
son œuvre est collectionnée
par de nombreux musées :
Céret, Saint-Etienne, Dunkerque,
Grenoble, Marseille,
MNAM Centre G. Pompidou,
La Chaux de Fonds,
National Muséum of art Osaka,
The Museum of Art Ehimé…">
Christian JACCARDFrench artist of international repute.
Painter and sculptor, he studies at
the Ecole des Beaux Arts de Bourges.
Of him the eminent art critic
Pierre Restany writes :
"Il perturbe l’acte classique
ou traditionnel de la peinture.
Libre de tout châssis, la toile, posée au sol,
est imprimée à l’aide de ce que Jaccard
nomme des « outils » :
objets naturels (plantes et insectes),
papier, ruban.
Son travail le situe
dans des préoccupations proches
de celles du groupe "Supports/Surfaces"
dont il n'a pas fait partie.
Néanmoins, des expositions consacrées
à Supports/Surfaces
ont parfois associé Christian Jaccard.
A partir de 1971, Christian Jaccard utilise
des « outils » cordes, ficelles, nœud.
Ces outils remplacent le pinceau
pour produire des traces sur la toile.
Vers 1973, il brûle ces outils contre la toile,
qui porte ainsi la trace de leur combustion.
De 1979 à 1981 : « Les anonymes calcinés »
soumettent à la chaleur destructrice
des toiles anonymes
du XVIIe, XXVIIIe, XIXe et XXe siècles
– portraits, scènes religieuses,
puis des calicots publicitaires de cinéma.
La combustion attaque
certaines parties de l’image
pour en laisser d’autres plus visibles.
1984 Son « chemin de Cendres »
rejoint le land-art,
brouillant encore une fois les pistes
pour échapper à toute classification.
« Quand j’ai compris que la suie est à la cendre
ce que le vide est au bleu,
j’ai réalisé que je n’avais pas éprouvé
de choc émotionnel aussi fort
devant la sublime vérité de l’apparence
depuis le 14 janvier 1961
au contact des sculptures de jeu
d’Yves Klein à Krefeld. ». "
Exposée dans les institutions publiques et privées
son œuvre est collectionnée
par de nombreux musées :
Céret, Saint-Etienne, Dunkerque,
Grenoble, Marseille,
MNAM Centre G. Pompidou,
La Chaux de Fonds,
National Muséum of art Osaka,
The Museum of Art Ehimé…
Lauret Studio proposes,
with all the impassioned of exception,
professionals and privates,
an exclusive silverware,
a poetic and sensual escape,
the timeless harmony
of esthetics and French elegance.
As manager of a small company of edition
in a sector as difficult as that of silverware,
it seems to me essential to pledge
in favour of the creativity,
to offer products
very far from overconsumption,
of the disposable.
High range, durable products,
with strong identity.
Products with a heart.
Another engagement,
in favour of inheritance,
innovation and excellence.
Modestly, take part to promote,
maintain and transmit some know-how,
true art professions.
Timeless one, of those which contribute
to the worldwide influence of our culture,
of a certain lifestyle.
My artists.
Richard Lauret, artist/designer,
for whom I set up the company.
Today he opens more largely his universe
with indoor outdoor designs,
furniture, lighting, sculptures.
Jean-Charles Maïna, Christian Jaccard,
both sculptors.
Biographies in addition.
My partners.
All of them small craftsmen.
EPV, "Entreprise Patrimoine Vivant ».
French label of excellence.
Especially "my" silversmiths,
graduated from the Ecole Boulle,
one of them MOF
"Meilleur Ouvrier de France".
Far more than just silverware,
our collections are the fruit of encounters
between men and women of passion.
Artists and craftsmen of great talents.
Without them, without your trust,
nothing would be possible.
So, I would like to thank all of them, all of you.
Please, feel free to reach me
for further more details that you could need,
discover and visit our Studio near Paris,
by appointment only,
request a pdf brochure, a price list,
a proforma invoice, order our silverware.
lauretstudio95@gmail.com
@lauretstudio
I remain very cordially and wish you all the best.
Christine Lauret
Founder & General Manager
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